Voici ses plus gros flops de Google :
Google Orkut – Bien avant
Google +, Google s'était déjà essayé aux réseaux sociaux avec Orkut.
Lancé en 2004 pour concurrencer Myspace (Facebook n'existait pas
encore), ce service ne rencontrera le succès que dans un seul pays : le
Brésil, pour des raisons difficiles à définir. Google mettra fin à Orkut
10 ans après son lancement, dans l'indifférence générale.
Google Glass
– Lorsque Google avait annoncé commercialiser des lunettes connectées,
le monde Geek avait frémi. Ce n'était pas de la science-fiction, et même
avec un prix de lancement à 1500 dollars, un tel objet demeurait
séduisant. Mais force est de constater que les ventes et les
développements n'ont pas du tout suivi. Et même Sergey Brin, le co
fondateur de Google qui ne se montrait jamais sans ses Google Glass, ne
les chausse plus devant les médias.
Google Wallet –
Payer chez un commerçant avec son téléphone, ce n'est pas seulement
geek, c'est pratique. Même Apple se lance en 2015 dans l'aventure. Bien
après Google, qui a lancé Wallet en 2011. Pourtant, même aux États Unis,
les utilisateurs de Wallet ne sont pas légion, les accords avec les
banques étant difficiles, et les commerçants équipés de la technologie
ad hoc (NFC) sont encore minoritaires.
Google Wave
– Lancé en grande pompe par Google en 2009, Google Wave devait être un
service révolutionnaire, agrégeant à la fois une messagerie web, une
plateforme de travail collaborative, un chat, un traducteur à la
volée... Bref, une véritable usine à gaz, qui n'a pas fait long feu.
Dodgeball :
C'est peut-être la grosse boulette de Google, qui s'offre en 2005
Dodgeball, un réseau social géolocalisé. Mais Google n'investit pas
d'argent dans son développement. Les fondateurs déçus quittent le
navire, et l'un d'entre eux, Denis Crowley, remonte un service
équivalent. Ce service s'appellera Foursquare, et deviendra rapidement
la référence dans le domaine, avec plus de 45 millions d'utilisateurs.